Le rechargement des douilles usagées vise tout d’abord et dans la majorité des cas à créer une économie substantielle par rapport aux munitions manufacturées que nous achetons chez notre armurier habituel(sachant que la douille est l’élément le plus cher, et quel peut être rechargée de nombreuses fois.), mais également à créer des munitions convenant en tous points à l’usage auquel on les destine (chasse, tir de loisir, tir sportif, tir de compétition, etc…) ainsi qu’à augmenter son capital de munitions, celles classées en catégorie B étant limitées à 1000 unités par arme et par année, les préfectures et sous-préfectures desquelles vous dépendez se chargeant de faire le décompte des munitions manufacturées achetées, via votre armurier habituel.
EN QUOI CONSISTE LE RECHARGEMENT ?
1 : Désamorcer la douille usagée à l’aide de l’outil approprié, plusieurs modèles existent.
2 : Nettoyer celle-ci soigneusement, intérieur et extérieur à l’aide du ou des produits appropriés.
3 : Nettoyer soigneusement les logements d’amorce, afin que les traces résiduelles de combustion en soit chassées.
4 : Recalibrer l’intérieur et l’extérieur de la douille.
5 : Réamorcer la douille.
6 : Expandre la partie supérieure du collet de la douille pour qu’elle puisse accueillir plus facilement la nouvelle ogive.
7 : Verser la quantité de poudre voulue.
8 : Poser la nouvelle ogive (syn. de balle, projectile) sur le collet dilaté par l’opération 6.
9 : Pousser la balle dans la douille jusqu’à la valeur d’enfoncement désirée.
10 : Sertir en resserrant le collet de la douille autour de la balle, de manière ronde, dans le cas des revolvers, et de manière conique pour les armes à fonctionnement automatiques, semi-automatiques, et dans l’ensemble dans les cas ou l’ogive risque d’être enfoncée dans sa douille lors de l’alimentation du magasin à la chambre.*
DETAIL DES OPERATIONS :
Ces résidus sont indésirables : il faut les éliminer à l’aide d’un « outil à nettoyer les logements d’amorce » aussi appelé en anglais : « Pocket Primer Cleaner » ou plus simplement « primer Cleaner .» Il existe 2 modèles de nettoyeurs de logements d’amorce : le modèle SMALL (petit) et LARGE (large), selon que les logements des amorces soient petits ou grands. Quoi qu’il en soit, les industriels de l’armement ont standardisé les normes « SMALL » et « LARGE » : il n’y a heureusement pas de taille intermédiaire, si vous possédez un nettoyeur de logements d’amorce de chaque taille, vous pourrez nettoyer correctement toutes les douilles de la Création.
Ce nettoyage est à ne pas négliger, surtout si vous avez l’intention de conserver vos cartouches rechargées sur une longue période, car les résidus de combustion de l’amorce précédemment percutée dans une douille mal nettoyée risquent de modifier par corrosion la composition de la nouvelle amorce que vous aurez insérée, ce qui pourrait éventuellement modifier l’inflammation de la nouvelle amorce, d’une manière insatisfaisante à insuffisante, jusqu’à dangereuse.
En ce qui concerne le nettoyage de l’intérieur de la douille, je conseille le nettoyage systématique après chaque réutilisation de la douille.
Certains appareils fonctionnent avec des granulés, d’autres avec des liquides, et les plus performants avec du liquide ou des granulés, au choix.
Néanmoins, cette déformation existe bel et bien, même si elle n’est que de quelques centièmes de millimètres dans le cas des douilles droites, douilles de revolver et de la plupart des pistolets automatiques (excepté ceux chambrés en .357 SIG, 30 Luger, 7,63 Mauser, 32-20 Revolver, 8mm Nambu, et en 5,7×28), mais dans le cas des douilles à épaulement, dites douilles rétreintes ou douilles à rétreint (la plupart des douilles pour armes d’épaule), la déformation peut atteindre plusieurs dixièmes de millimètres, et sans recalibrage de la douille, l’on risque tout simplement de ne plus pouvoir introduire la cartouche dans l’arme dans le meilleur des cas, ou d’avoir un plus ou moins grave incident de tir dans le pire des cas, en raison du grossissement excessif du collet de la douille qui ne permettra plus de maintenir de manière correcte et fiable l’ogive. Grossissement du collet, lui-même dû au(x) tir(s) précédent(s).
A l’aide d’une presse mono station ou automatique, l’outil à recalibrer (appelé « SIZER » ou « RESIZER ») sera vissé sur la presse selon la procédure indiquée par le fabriquant sur la notice de l’outil, la douille sera bloquée dans le « shell-holder » (support de douille) et en actionnant le levier de la presse, la douille sera introduite dans le recalibreur : elle y sera forcée si elle est très déformée, ou y glissera pratiquement si elle est peu déformée par le tir précédent. Les parois du recalibreur rendront à la douille ses cotes originales à 0.001 inch
(1 inch = 2,54cm. C’est le pouce anglais) près, soit à 0.00254mm près, ce qui est une tolérance d’usine parfaitement acceptable dans toutes les armes modernes en bon état de marche. D’une autre part, comme nous le soulignions plus haut, il est fort probable que le recalibreur soit pourvu en son centre d’une tige de désamorçage sur laquelle se trouve une olive s’élargissant progressivement, qui redonnera au collet de la douille son diamètre original, suffisamment étroit pour permettre la réintroduction d’une nouvelle ogive ainsi que son maintien de manière fiable. Cette olive agira deux fois : la première fois lorsque la douille pénétrera dans le recalibreur, la seconde lorsqu’elle en ressortira. Certains recalibreurs pour douilles droites (.38 spécial, .357 magnum, .44 magnum , 9mm parabellum, 32ACP, etc… pour ne nommer que les principaux calibres d’armes de poing mais en rappelant toutefois que Certains calibres d’armes d’épaule sont également à douille droite) ne sont pas pourvus de cette olive qui sert à recalibrer le collet de la douille.
D’autres outils à recalibrer, au contraire, ne recalibrent que le collet de la douille. Ils ne sont compatibles qu’avec des douilles à épaulement, en général réservées aux armes d’épaule. Il n’est en effet pas nécessaire de recalibrer tout le corps de la douille si celle-ci est toujours tirée dans la même arme : la déformation de la douille se limitera aux dimensions maximales de la chambre de l’arme, la chambre étant l’emplacement où se trouve la cartouche avant d’être percutée. La cartouche y est maintenue par la culasse, qui est elle-même verrouillée et maintenue par un ou plusieurs tenons, suivant la puissance du calibre dans lequel est chambrée l’arme. Le formage de la douille aux cotes de la chambre de l’arme se dit en anglais : « FIRE-FORMING », soit en français (abus de langage) : « Formage par le tir ».
Un outil à recalibrer vendu séparément coûte entre 110 FRF et 190 FRF. Certains recalibreurs haut de gamme peuvent atteindre des prix nettement supérieurs, mais sont en général rares et prisés seulement par les compétiteurs.
Si l’amorce est légèrement sur enfoncée, cela ne nuit pas au départ du coup ni à l’équilibre des pressions, mais cela peut rendre l’amorce plus sensible en cas de choc durant d’éventuels transports ou manipulations brutales, en raison de la conception même des amorces : l’enclume dont les 3 pieds dépassent de l’amorce sera précontrainte dans le logement d’amorce de la douille, ce qui pourrait (à charge d’un autre que moi de vérifier, mesurer et analyser le phénomène) raccourcir la course du percuteur avant que l’amorce fasse son office.
En gros, cela revient à dire que l’amorce aura besoin de moins de pression pour se déclencher si elle est sur enfoncée
Mais, dans l’ensemble c’est à l’œil que se distingue de manière fiable la qualité de l’amorçage, et nous ne conseillons à personne de vérifier ses amorçages d’une autre manière.
Sinon, sur les presses automatiques à plusieurs stations, un dispositif semblable à l’AUTO-PRIME II est en général prévu d’origine, mais les fins rechargeurs (pompeusement : advanced-reloaders) préfèrent réamorcer manuellement afin de pouvoir vérifier la valeur d’enfoncement (ou tout simplement la seule présence de l’amorce dans son logement avant l’ajout de poudre ) systématiquement à chaque douille réamorcé ce qui est impossible sur une presse automatique étant donné la position debout de la douille.
L’amorce se présente toujours sous la forme d’une petite capsule, mais elle est de forme plus aplatie. La douille de type « BERDAN » est différente de celle de type « BOXER » : il n’y a pas un trou d’évent pour laisser passer l’ignition, mais deux trous, plus faibles en diamètre. De plus, il n’y a pas d’enclume dans l’amorce, comme sur les amorces pour douilles « BOXER », l’enclume est située sur le culot de la douille, ce qui permet à l’amorce d’être écrasée entre le percuteur et l’enclume de la douille, ce qui donne une garantie de départ du coup légèrement supérieure à celle des douilles « BOXER », par contre, lors du désamorçage Ô combien plus difficile que celui des douilles « BOXER », l’enclume a toutes ses chances de se voir abîmée par l’outil de désamorçage, ce qui risque de rendre la douille inopérante quant à la percussion de l’amorce, faute d’enclume de douille en bon état. Cette enclume se présente tout simplement sous la forme d’une petite pointe située entre les deux trous d’évent.
Un enfoncement trop faible de l’amorce (de quel type qu’elle soit) peut, dans le cas des revolvers à barillet, empêcher la rotation de celui-ci, même si il n’y a qu’une seule cartouche du barillet qui présente ce défaut : la coupole de l’amorce est fabriquée dans un acier tout de même « assez » résistant, pour ne pas provoquer de départs intempestifs lors de manipulations ou de transports.
Un sur enfoncement dangereux est, dans la pratique, peu probable : les rebords de la coupole empêchent l’amorce de descendre trop profondément dans le logement d’amorce.
Il est formellement déconseillé de mélanger des poudres d’origine diverses entre elles. La densité de chargement (volume de poudre par rapport au volume total de la douille une fois celle-ci coiffée de sa nouvelle ogive) peut considérablement faire varier la pression des gaz une fois qu’ils seront détendus par l’ignition de la poudre, ce qui amène à considérer avec la plus grande vigilance le taux d’enfoncement de l’ogive dans la douille, mais nous en parlerons un peu plus loin dans le chapitre 9.
Les poudres sont de vivacité différentes, d’horizons différents (Françaises, américaines, finlandaises pour les plus courantes sous nos latitudes) et d’usage différent, selon qu’il s’agisse de recharger des cartouches pour armes de poings de petit ou gros calibre, ou de recharger des cartouches d’armes d’épaule de plus ou moins gros calibre également.
Si une cartouche est entièrement remplie d’une poudre très (trop) vive et qu’elle est coiffée d’un trop lourd projectile par rapport au volume et à la grande vivacité de cette poudre, au moment de l’explosion de la poudre, la vitesse de dilatation des gaz sera telle que le projectile n’aura pas le temps de quitter son barillet ou sa chambre alors que les gaz seront entièrement dilatés : ces gaz doivent bien sortir par quelque part, et si ce ne peut être par la bouche du canon, cela sera par tous les côtés de l’arme à la fois, comprenez par-là que l’arme de poing ou d’épaule incriminée se transformera soudainement en grenade à fragmentation, ce qui ne manquera pas de blesser plus ou moins grièvement le tireur et son entourage immédiat.
L’on risque d’obtenir le même résultat, mais dans d’autres circonstances, en dosant trop peu une poudre lente : celles-ci brûlent plus lentement que les vives mais ne sont utilisable en toute sécurité qu’à la condition d’avoir une forte densité de chargement dans la cartouche, c’est-à-dire qu’il faut qu’il reste « le moins d’air possible » dans la douille une fois le projectile enfoncé et serti si besoin est, mais en respectant toutefois les tables de rechargements établies par la S.N.P.E. (Société Nationale des Poudres et Explosifs) et/ou par le « manuel de rechargement » écrit par René Malfatti, qui est l’ouvrage de rechargement le plus commun dans l’hexagone. « Modern Reloading » de Richard Lee constitue également une excellente base de données au niveau des tables de rechargement, mais la plupart des poudres qui y sont indiquées ne sont pas importées en France, excepté les poudres finlandaises Vihtavuori.
BA10 : Poudre en bâtonnets bicolore (vert-rose). S’utilise pour les cartouches de faible performance, comme les « wadcutter ». La double-charge de cette poudre est souvent fatale à l’arme. C’est la plus vive des poudres proposées par VECTAN.
AS : Poudre en paillettes bicolore (vert-rouge) adaptée aux calibres de semi-auto, et avec des projectiles en plomb
A1 : Poudre en paillettes vert-clair excellente poudre pour les gros calibres.
BA9 : Poudre en bâtonnets noire très proche de la A1, mais ne doit pas être utilisée en faible densité de chargement : risque de surpression.
A0 : Poudre en paillettes vert-foncée laquée très flexible d’emploi, en faible ou forte densité de chargement.
SP8 : Poudre sphérique écrasée grise que nous déconseillons aux rechargeurs. Laissons-là aux encartoucheurs professionnels qui ont des moyens techniques de haute précision hors de notre portée pour maîtriser la sensibilité de cette poudre aux méthodes de rechargement. En effet, la moindre variation de valeur de forcement, d’enfoncement, de sertissage peut provoquer des montées en pression impressionnantes par rapport à d’autres poudres également sphérique.
La plus grande prudence est de mise si vous tenez vraiment à utiliser cette poudre.
SP3 : Poudre sphérique grise. Initialement prévue pour les armes à canon lisse de petit calibre, elle excelle dans les gros calibres pour arme de poing comme le .357 magnum, le .44 magnum, le .357 Magnum Remington maximum, le .41 Remington Magnum, la .45 Winchester Magnum, et la cataclysmique .50 AE de I.M.I.
TUBAL 2000
TUBAL 3000
SP10
SP9
SP7
TUBAL 5000
SP11
TUBAL 7000
SP12
TUBAL 8000
SP13
Les TUBAL sont des poudres qui permettent de pousser fort et loin de lourds projectiles, d’où leur intérêt dans le cas des armes d’épaule à canon rayé.
Démarrez toujours vos nouveaux rechargements au moins 10% en dessous du seuil que vous aurez fixé, mais tenez tout de même compte du type de poudre que vous employez : lente ou vive. Tous les chargements de toutes les poudres ne peuvent pas être réduits sans respecter la densité de chargement.
A cette fin, vous pourrez vous procurer soit :
Une balance à curseur avec stabilisateur magnétique (270FRF à 1200 FRF)
Une balance électronique avec ses étalons de vérification et de calibrage de pesée.(900 FRF à 1500 FRF).
Certaines balances électroniques peuvent être combinées à une égreneuse, qui arrêtera le flux de poudre grâce à une cellule photoélectrique. C’est le top du top au niveau pratique ainsi qu’au niveau du prix ! ! !
– Doseuse à boisseau rotatif réglable micro métriquement.
– Doseuse à boisseau rotatif à chambre latérale réglable par curseur.
– Doseuse manuelle à tiroir.
– Doseuse automatique à tiroir.
-A l’aide d’une chargette, fabriquée artisanalement, ou distribuée par la firme LEE qui en propose un assortiment de 16, accompagné d’un tableau de correspondance pour chaque poudre (sauf les Vectan….) qui est d’une précision remarquable. Néanmoins, il faut apprendre à se servir de ces chargettes avec soin : ne jamais tasser la poudre et araser soigneusement.
La douille, ainsi réhabillée, maintenue dans son shell-holder, va monter dans l’outil sous l’action du levier de la presse. Au sommet de la douille, la balle va rencontrer le « poussoir de balle ». Ce poussoir se règle par la partie supérieure de l’outil en tournant une simple vis à main, ou une molette, ce qui va déterminer la valeur d’enfoncement de la balle dans la douille, le shell-holder étant toujours à fleur (ou au contact) de la partie inférieure de l’outil, comme dans la plupart des opérations. Il est important que le projectile soit le plus en ligne possible avec la douille qui va l’accueillir afin d’éviter d’éventuels renflements sur les parois externes de la douille dus à une non-concentricité du projectile dans la douille, phénomène qui risque de se répercuter en cible par un mauvais groupement, par exemple.
Un moyen pour rattraper ce type de renflement est de passer vos cartouches rechargées non-serties dans un « FACTORY – CRIMP – DIE » , c’est à dire dans un sertisseur d’usine (du moins, qui fonctionne à peu près de la même manière que ceux des encartoucheurs), qui va redonner à vos cartouches les cotes d’origine du calibre en question, et qui va si vous le désirez (et surtout si vous le réglez pour) effectuer un sertissage conique plus ou moins profond, suffisamment profond en tous cas pour se substituer au niveau de l’efficacité, à un sertissage rond, ce qui permet d’intervertir pour un même calibre les sertissages ou les armes à barillet ou à répétition, du moins si d’autres paramètres (comme le profil d’ogive dans le cas des magasins tubulaires par exemple) ne viennent pas miner cette heureuse interchangeabilité.
Il est préférable (et logique) que la gorge de sertissage de la balle s’arrête pile-poil au niveau du collet de la douille, de manière à ce que le sertissage soit le plus efficace possible.
Le sertissage est une opération délicate : il n’existe pas de norme précise entre un sertissage fort, moyen ou léger. Il consiste à rétreindre le projectile en resserrant la douille autour de lui grâce à un outil appelé « SERTISSEUR » ou « SERTISSEUR ROND » (« ROLL CRIMP » en anglais) ou « SERTISSEUR CONIQUE » (« TAPER CRIMP » en anglais).
Le sertissage rond sert quasi-exclusivement dans le cas des revolver : Si dans un barillet à 6 coups, les 6 cartouches n’ont pas leur ogive fermement sertie, le tir de la première cartouche va dégager un recul tel que les 5 cartouches restant dans le barillet risquent de perdre leur ogive, ou au moins de voir celle-ci s’extraire sur quelques dixièmes de millimètre, ce qui risque de les faire dépasser du barillet, l’empêchant d’effectuer sa révolution autour de son axe, et par la même occasion de continuer à faire feu. Tous les calibres de revolver à barillet ne nécessitent pas de sertissage, il est surtout nécessaire pour les calibres puissants, comme le .357 magnum, le .44 magnum, le 45Long Colt, le 454 casull, etc…tandis que pour le .38 SPECIAL, un sertissage léger à moyen suffira, et il sera totalement inutile dans le cas de la .38 Wadcutter (« bourre coupante » en anglais, car l’impact sur la cible est fait comme à l’emporte-pièce), ainsi que dans le cas de certains revolvers anciens. Il est important de savoir qu’une ogive blindée nécessite un sertissage un peu moins énergique qu’une balle en plomb du même calibre, le blindage de l’ogive lui apportant une dureté très nettement supérieure à celle du plomb. L’on considérera donc que les sertissages ronds empêchent l’arrachement de la balle et les coniques l’enfoncement.
Bon rechargement!
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